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Photographie | Dessins et plans | Musique | Inventeurs | Montgolfières | Inventions | Yvain Coudert | ABCD-inventions | XVIIIe siècle | ABCD | RyXéo | 18e siècle | Gravure | Dessin en noir et blanc | Instruments à cordes pincées | Peinture | Enfants | Tapisserie des Gobelins | Instruments de musique | Jardiniers | ...
Plaque de frappe d'un cajón. Source : http://data.abuledu.org/URI/53048d4c-plaque-de-frappe-d-un-caj-n

Plaque de frappe d'un cajón

Le cajón est un instrument de musique inventé au Pérou au XVIIIe siècle. Il fut très certainement à ses débuts une caisse destinée à la cueillette des fruits ou à la pêche des poissons, c'est une caisse de résonance parallélépipède, de 50cm x 30cm x 30cm (hauteur/largeur/profondeur) en moyenne. La plaque de frappe (devant) est plus fine que les autres côtés, ce qui permet une élasticité et une résonance propre au cajón. Au dos, un trou d'environ 10cm de diamètre permet la sortie du son (même effet qu'un évent de décompression d'une enceinte de sono). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Caj%C3%B3n.

Pont sur le Galion en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276a8b6-pont-sur-le-galion-en-guadeloupe

Pont sur le Galion en Guadeloupe

Vue d'ensemble du pont (classé Monument Historique) sur le Galion situé à proximité du Fort Delgrès sur la commune de Basse-Terre. Il est emprunté par la D25. Construit durant la deuxième moitié du XVIIIe siècle, entre 1773 et 1780 sur les plans l'abbé de Talcy, le pont permet de passer d'une rive à l'autre du Galion. Il ne comporte qu'une seule arche haute d'une trentaine de mètres. À l'origine, les deux extrémités du pont étaient formées par des tabliers de bois qui pouvaient être détruits pour contrer l'avancée d'ennemis. Il est toujours utilisé pour le trafic routier et piétonnier.

Portrait d'Étienne Montgolfier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd5c27-etienne-montgolfier

Portrait d'Étienne Montgolfier

Etienne Montgolfier, inventeur avec son frère Joseph d'un ballon à air chaud grâce auquel a été réalisé en 1783 le premier vol d'un être humain. Dessin au trait réalisé par Yvain Coudert (Ryxéo 2014) à partir d'une gravure.

Portrait de Joseph Montgolfier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd5ca5-joseph-montgolfier

Portrait de Joseph Montgolfier

Portrait de Joseph Montgolfier, inventeur avec son frère Etienne d'un ballon à air chaud grâce auquel a été réalisé en 1783 le premier vol d'un être humain. Dessin au trait Yvain Coudert (Ryxéo 2014) à partir d'une gravure.

Portrait de Marco Polo en costume tartare. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b40d3a-portrait-de-marco-polo-en-costume-tartare

Portrait de Marco Polo en costume tartare

Marco Polo en costume tartare, "Coureurs des mers", Poivre d'Arvor : peinture du XVIIIe siècle d'Hermanus van Grevenbroeck au Museo Correr de Venise.

Portrait de Vivaldi. Source : http://data.abuledu.org/URI/519e7152-portrait-de-vivaldi

Portrait de Vivaldi

Portrait d’un violoniste vénitien du XVIIIe siècle, généralement considéré comme étant celui de Vivaldi, 1723. Source : Civico Museo Bibliografico Musicale, Bologne (Italie).

Portrait des frères Montgolfier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd5d35-les-freres-montgolfier

Portrait des frères Montgolfier

Joseph et Etienne Montgolfier, inventeurs d'un ballon à air chaud grâce auquel a été réalisé en 1783 le premier vol d'un être humain.

Pot à thériaque de 1782. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a7b6a6-pot-a-theriaque-de-1782

Pot à thériaque de 1782

Pot à thériaque du XVIIIe siècle (Hospices de Beaune, Côte-d'Or). M.DCC.LXXXII (1782) : la thériaque (appelée θηριον par les Grecs) est un célèbre contrepoison rapporté de Rome par Pompée, puis complété par Andromaque, médecin de Néron. Autre appellation : mithridate, du Roi Mithridate qui s'en servait comme contrepoison. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9riaque

Routes commerciales maritimes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c3f1cc-routes-commerciales-maritimes

Routes commerciales maritimes

Routes commerciales empruntées par les navires entre l'Angleterre et l'Australie-Nouvelle Zélande du XVIIIe au XXe siècle. Dessiné par Jérôme BLUM le 22 juillet 2006, inspiré par la version anglaise. La carte de fond est dans le domaine public. Elle est issue du projet Visible Earth de l'observatoire de la Terre de la NASA. Source : http://visibleearth.nasa.gov/view.php?id=57752. Les vents des quarantièmes rugissants ont joué un rôle significatif dans le choix de la route suivie par les clippers et donc sur le commerce entre l'Europe, l'Amérique du Sud et l'Orient. Wellington est la seule capitale nationale située dans les latitudes des quarantièmes rugissants. Elle est surnommée « Windy Wellington » ou « Windy Welly » à cause du fort vent omniprésent accentué par l'effet Venturi de sa position sur le détroit entre les deux îles principales de Nouvelle-Zélande. L'île de Tasmanie, l'État le plus méridional de l'Australie, est située entièrement dans les quarantièmes rugissants et a, par conséquent, un littoral occidental moins peuplé et balayé par les vents. De même, le sud de l'Amérique du Sud, la Patagonie, est continuellement balayé par les vents des Quarantièmes rugissants et des Cinquantièmes hurlants. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quaranti%C3%A8mes_rugissants.

Rue Boulan à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5826e7ea-rue-boulan-a-bordeaux

Rue Boulan à Bordeaux

Rue Boulan à Bordeaux (Antoine Boulan était maître verrier au XVIIIe siècle) avec ancien nom gravé dans la pierre : rue de la furgalité. De l'autre côté de la rue "frugalité"...

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Systèmes d'éclairage depuis l'antiquité. Source : http://data.abuledu.org/URI/53596960-systemes-d-eclairage-depuis-l-antiquite

Systèmes d'éclairage depuis l'antiquité

Éclairage à travers les ages. Antiquité : 1. Préhistoire. - 2-3. Ancienne Égypte - 4-5. Assyrie. 6-13. Rome antique. - 14-15. Carthage. - 16-17. dynastie mérovingienne. - Moyen age et temps modernes : 19-20. XIe siècle. - 21. XIIe siècle. - 22. XIIIe siècle. - 23-24. XIVe siècle. - 25-26-27. XVe siècle. - 28. XVIe siècle. - 29. XVIIe siècle. - 30-31. XVIIIe siècle. - Période contemporaine : 32. Lampe d'Argand originale. - 33-34. Lampe d'Argand : Les améliorations d'Antoine Quinquet. - 35. Geordie Stephenson (Lampe de mineur). - 36. Éclairage public. - 37. Lampe Davy. - 38. Lampe wick (théâtre). - 39. Lampe des chemin de fer. - 40. Lampe Carcel. - 41. Gazéification. - 42. Bec Auer (gas) lampe avec Manchon à incandescence. - 43. Gaz d'éclairage (bec de gaz normal). - 44. Gaz d'éclairage (bec de gaz) intensif. - 45. Lampe à pétrole Bec Auer . - 46. Lampe à pétrole - 47. Lampe à incandescence classique (électricité). - 48. Phare (Électricité). - 49. Lampe de mineur (électricité). - 50. Lampe à incandescence classique (électricité) éclairage public. - 51. Lampe à arc (électricité).. - 52. Lampe à acétylène (bec de gaz). - 53. Lampe à acétylène (Bicyclette). - 54. Lampe à acétylène (lampe). - Japon: 55. éclairage public. - 56. Transport(rickshaw). - 57. Lanterne de funérailles. - 58. lanterne portable. Source : Nouveau Larousse Illustré, t. 4, Maurice Dessertenne, 1900.

Tapisserie des Enfants jardiniers en été. Source : http://data.abuledu.org/URI/548b5dd4-tapisserie-des-enfants-jardiniers-en-ete

Tapisserie des Enfants jardiniers en été

Tapisserie de la manufacture des Gobelins représentant les enfants jardiniers en été. Fin XVIIIe siècle. Musée Grobet-Labadié à Marseille.

Tapisserie des Enfants jardiniers en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/548b5d81-tapisserie-des-enfants-jardiniers-en-hiver

Tapisserie des Enfants jardiniers en hiver

Tapisserie de la manufacture des Gobelins fin XVIIIe siècle représentant les enfants jardiniers en hiver. Musée Grobet-Labadié à Marseille.

Tarogato hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4317-tarogato

Tarogato hongrois

Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.

Théorbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a287-theorbe

Théorbe

Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.

Thor et Jörmungandr. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c675d5-thor-et-jormungandr

Thor et Jörmungandr

Image du dieu Thor et du jötunn Hymir combattant le monstre Jörmungand. Manuscrit islandais du XVIIIe siècle (1765-1766).

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.